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Sortie de crise : la RDC, le Sénégal et la Côte d’Ivoire se relèveront plus vite que le Congo

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Selon le FMI, l’Afrique subsaharienne pourrait accuser un déficit de l’ordre de 290 milliards de dollars sur la période 2020-2023. Mais tous les pays ne seront pas logés à la même enseigne. La situation sanitaire de l’Afrique subsaharienne relativement meilleure face au coronavirus que celle des autres parties du monde ne lui épargnera pas une crise économique et sociale de grande ampleur, comme l’annoncent « les Perspectives » publiées le 22 octobre par le Fonds Monétaire International (FMI), et intitulées « Vers une reprise difficile ».
« L’économie de la région subira une contraction de 3 % en 2020 selon les projections, soit les pires perspectives jamais établies », a déclaré Abebe Aemro Sélassié, directeur du département Afrique du Fonds. Les pays les plus touchés sont ceux qui sont tributaires du tourisme ainsi que les exportateurs de matières premières. La reprise devrait s’amorcer en 2021 et la croissance atteindrait alors +3,1 %. Insuffisant pour permettre aux gouvernements de mener de front la lutte contre la pandémie et la relance de leur économie, car c’est l’argent qui manque le plus du fait de recettes en berne et de dépenses sanitaires en hausse.  [/vc_column_text][vc_btn title=”En savoir plus” color=”success” link=”url:https%3A%2F%2Fwww.jeuneafrique.com%2F1061610%2Feconomie%2Fcroissance-inflation-la-relative-resistance-de-luemoa%2F%3Futm_source%3Dnewsletter-ja-eco%26utm_medium%3Demail%26utm_campaign%3Dnewsletter-ja-eco-22-10-20%26utm_content%3Darticle_3|title:En%20savoir%20plus|target:%20_blank|rel:nofollow”][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_wp_posts number=”10″][/vc_column][/vc_row]